Pourquoi avons-nous mal à la tête ?
Si le mal de tête est plutôt bilatéral avec une sensation de serrement autour de la tête, associé à des tensions musculaires au niveau de la nuque, et parfois des névralgies qui remontent vers le haut du crâne, on pensera d’abord à une céphalée de tension, rappelle le Docteur Jean-Michel Morel, médecin généraliste. La fatigue, un climat anxio-dépressif, ainsi que les mauvaises postures entraînant des contractions musculaires, peuvent être incriminés. Lorsque les maux de tête sont diffus avec une sensation de brouillard, une pulsatilité qui s’accentue quand on remue la tête, ils peuvent être aussi en lien avec un contexte de surmenage ou des phénomènes émotionnels. Enfin, un mal de tête peut également être lié à des facteurs hormonaux ou environnementaux (bruits, tabagisme passif, pollution…). Ces maux de tête du quotidien, même s’ils ne sont pas précédés d’aura et ne présentent pas tout à fait les mêmes caractéristiques que la migraine, résultent aussi d’un phénomène de dilatation vasculaire au niveau de la tête.
Quelles sont les conséquences des maux de tête réguliers ?
Avoir mal à la tête fréquemment est une vraie prise de tête… Au-delà de l’inconfort de la douleur, les maux de tête peuvent être un frein à l’activité cérébrale et perturber le bon fonctionnement du système nerveux : il est plus difficile de se concentrer, de mémoriser, de lire, de calculer, de comprendre, d’avoir l’esprit clair, de prendre des décisions… Impossible d’être pleinement à ce que l’on fait ; c’est tout le quotidien qui est impacté. Le Dr Jean-Michel Morel aurait même tendance à dire que c’est plus souvent le stress et l’anxiété qui sont déclenchés par un mal de tête que l’inverse. Les personnes qui ont régulièrement des maux de tête appréhendent fortement les crises et sont toujours dans l’anticipation, allant jusqu’à s’isoler, réduire les activités, prendre des traitements antalgiques en amont, de peur de connaître un nouvel épisode douloureux.
Quelles sont les conséquences des maux de tête réguliers ?
Avoir mal à la tête fréquemment est une vraie prise de tête… Au-delà de l’inconfort de la douleur, les maux de tête peuvent être un frein à l’activité cérébrale et perturber le bon fonctionnement du système nerveux : il est plus difficile de se concentrer, de mémoriser, de lire, de calculer, de comprendre, d’avoir l’esprit clair, de prendre des décisions… Impossible d’être pleinement à ce que l’on fait ; c’est tout le quotidien qui est impacté. Le Dr Jean-Michel Morel aurait même tendance à dire que c’est plus souvent le stress et l’anxiété qui sont déclenchés par un mal de tête que l’inverse. Les personnes qui ont régulièrement des maux de tête appréhendent fortement les crises et sont toujours dans l’anticipation, allant jusqu’à s’isoler, réduire les activités, prendre des traitements antalgiques en amont, de peur de connaître un nouvel épisode douloureux.
Les traitements classiques qui soulagent les céphalées
Lorsque les céphalées sont épisodiques, que leur survenue et leur intensité sont habituelles, des analgésiques simples comme le paracétamol peuvent être pris sans ordonnance. Le paracétamol agit en diminuant la production de prostaglandines et en modulant les systèmes de transmission de la douleur. Il est important d’en respecter la posologie, rappelle le Docteur Jean-Michel Morel, et d’en prendre seulement si on en a besoin et jamais de manière prolongée, à cause de son effet hépatotoxique. Attention à l’automédication ! Prendre de façon autonome des médicaments plusieurs fois par semaine pour soulager ou prévenir les maux de tête n’est pas anodin. Cela doit pousser à consulter son médecin généraliste, car il convient de chercher la présence d’autres pathologies et prendre en charge les symptômes plus efficacement.
Les traitements classiques qui soulagent les céphalées
Lorsque les céphalées sont épisodiques, que leur survenue et leur intensité sont habituelles, des analgésiques simples comme le paracétamol peuvent être pris sans ordonnance. Le paracétamol agit en diminuant la production de prostaglandines et en modulant les systèmes de transmission de la douleur. Il est important d’en respecter la posologie, rappelle le Docteur Jean-Michel Morel, et d’en prendre seulement si on en a besoin et jamais de manière prolongée, à cause de son effet hépatotoxique. Attention à l’automédication ! Prendre de façon autonome des médicaments plusieurs fois par semaine pour soulager ou prévenir les maux de tête n’est pas anodin. Cela doit pousser à consulter son médecin généraliste, car il convient de chercher la présence d’autres pathologies et prendre en charge les symptômes plus efficacement.
Quelles solutions naturelles pour soulager les maux de tête ?
La plupart des maux de tête peuvent être soulagés naturellement. Souvent, conseille le Docteur Jean-Michel Morel, il suffit de se reposer quelques minutes, de respirer profondément, de faire quelques pas à l’extérieur pour se sentir mieux. Pour remplacer les médicaments classiques, dans la plupart des cas, on peut commencer par utiliser les plantes. Les avantages sont nombreux : dans un premier temps l’absence d’effets indésirables, puis le fait de se déshabituer des molécules chimiques dont l’efficacité se réduit si l’on en prend souvent. Quand le mal de tête s’installe, il est recommandé de se masser les tempes avec une goutte d’huile essentielle de Menthe poivrée que l’on aura déposée au bout de l’index. Le mécanisme est simple et fonctionne bien, explique le Docteur Jean-Michel Morel. Par contre, l’huile essentielle de Menthe poivrée ne doit absolument pas se trouver au contact de l’œil. Ce geste est donc déconseillé aux enfants, susceptibles de se frotter les yeux. La Grande camomille, plante médicinale connue et utilisée depuis longtemps par les patients sujets aux maux de tête, aura également un effet apaisant.
Comment utiliser la Grande camomille en cas de céphalées ?
Il est possible d’en faire des infusions, mais la voie orale en gélule d’extrait concentré garantit une prise parfaitement dosée pour être efficace. La Grande camomille a des propriétés antalgiques, anti-inflammatoires et spécifiquement antimigraineuses. Le Docteur Jean-Michel Morel, spécialiste en aromathérapie et en phytothérapie, conseille de prendre la plante dès que les premiers signes d’inconfort pour ne pas laisser à la douleur le temps de s’installer. Mais la plante peut être aussi prise en prévention quand les crises sont répétitives. Il y a un fort lien entre décompression et apparition des maux de tête. Souvent, dans le stress et l’action, les douleurs ne sont pas présentes. Elles apparaissent quand on relâche ; après sa journée de travail, en week-end ou en vacances. Pour certaines femmes cela peut être aussi quelques jours avant les règles ou durant les règles. Si on remarque ce phénomène, il peut être intéressant de prendre de la Grande camomille en amont et selon chaque situation : en fin d’après-midi, ou dès le jeudi de chaque semaine jusqu’au lundi, ou au début des vacances, ou dans la deuxième partie du cycle… Pour le Docteur Morel, il n’y a pas de risque à prendre régulièrement de la Grande camomille en respectant les doses et en faisant des pauses entre les périodes de prise. Son utilisation est réservée à l’adulte.
N'hésitez pas à demander l’avis de votre médecin ou le conseil de votre pharmacien.