La Phyto’scopie™ et le Phyto’scope™ : le fruit d’un solide travail scientifique

Pour Nicolas Monjotin, Docteur en pharmacologie, exerçant en Recherche et Développement pour les Laboratoires Pierre Fabre, toute utilisation de plante doit s’appuyer sur un socle robuste d’études scientifiques. En la matière, la Phyto’scopie™   fait cas d’école et pourrait bientôt devenir une référence en santé naturelle ! 

 

Naturactive : - Vous avez été à la base du projet Phyto’scopie™ , qu’en pensez-vous ? 

Nicolas Monjotin : - Naturellement, je pense beaucoup de bien de ce projet ! Je suis un passionné d’innovation. Il faut savoir aller explorer de nouvelles pistes, sortir des sentiers battus. Ce projet-là est très avant-gardiste : il ouvre de nouvelles perspectives en santé naturelle au travers de plantes bien connues, mais complètement redécouvertes sous un angle nouveau. Ce dispositif  ouvre extraordinairement le champ des possibles. Ce projet n’est pas là pour remettre en cause l’existant ; il vient en complément de la phytothérapie et de l’aromathérapie. Mais en revanche il peut un peu casser les codes !  

 

- Par exemple ? 

- Prenons l’exemple de la Vigne rouge, habituellement recommandée dans le domaine circulatoire, mais qui, grâce à sa richesse en tanins, peut aussi être très bénéfique dans les troubles du sommeil. C’est une nouvelle vision, ou plutôt une vision sous une autre dimension de la phytothérapie, qui je suis sûr sera très bien accueillie par les professionnels de santé, en particulier par les pharmaciens qui y trouveront une nouvelle façon de proposer des plantes. L’idée générale n’est pas de supplémenter tout le monde en tout, mais plutôt d’aider à compenser certains déficits en phytonutriments, éléments naturels protecteurs présents dans les plantes. En effet les déficits en phytonutriments peuvent être en lien avec certains besoins de santé. De même avec cette nouvelle approche il n’est pas seulement proposé des plantes et des huiles essentielles, mais également un accompagnement global de la personne avec des conseils hygiéno-diététiques. C’est à mon avis la robustesse scientifique et le sérieux du dispositif qui en feront son succès, car le projet s’est construit au croisement de 7 familles de phytonutriments indispensables, d’une cinquantaine de besoins de santé et de plus de 1000 études cliniques !  

 

- Vous êtes un scientifique, donc, par définition, très cartésien ? 

- Bien sûr, on ne peut pas conseiller une plante sans preuve réelle de son efficacité. La prescrire « parce que cela fait 1000 ans qu’on l’utilise dans ce domaine », cela ne suffit plus ! J’ai participé à la démonstration de l’intérêt de la Phyto’scopie™. Il était en effet très important que cette nouvelle approche de conseil en santé naturelle repose sur des données d’efficacité récentes, fiables et incontestables. 

 

- Comment avez-vous recueilli ces données justement ?  

- Nous avons interrogé les plus grandes bases de connaissances scientifiques internationales, et nous avons appliqué des filtres drastiques pour identifier uniquement les études d’intérêt. Cette sélection a retenu seulement des études cliniques, c’est-à-dire menées chez l’homme. Nous avons écarté les études in vitro ou des études sur l’animal. Nous avons également retenu uniquement les études dans lesquelles le phytonutriment d’intérêt était clairement identifié comme étant LE responsable du bénéfice observé. Par exemple, si une étude reportait un effet bénéfique du jus de tomate sur un besoin de santé, mais s’il n’était pas mentionné que l’actif du jus de tomate était bien un phytonutriment, l’étude n’était pas retenue.  

 

- Un travail titanesque ! 

- On peut le dire ! Et réalisé sur plusieurs années et avec l’aide de plusieurs spécialistes : des pharmacologues, des cliniciens et des statisticiens… Au final sur ce millier d’études, nous en avons retenu moins d’une sur cinq ; les plus robustes, celles qui amenaient scientifiquement la preuve que le phytonutriment avait un effet sur une problématique de santé, ou au contraire qu’un déficit était associé directement à cette problématique. Au final il est resté un peu moins de 200 études, ce qui est déjà énorme pour un tel sujet. D’autant plus que ces études cliniques, dans 70% des cas, sont conduites dans les mêmes conditions que les études menées pour le développement d’un médicament classique : contrôlées, randomisées, double aveugle, c’est-à-dire le haut standard de ce qui existe en termes d’études cliniques ! À la genèse du projet, je vous avoue que j’étais moi aussi un peu sceptique… mais après avoir recensé toute la littérature, il est apparu très clairement que le bénéfice santé des phytonutriments existe, et sur une multitude de sphères de santé. Les phytonutriments, cela marche !  Cet énorme socle scientifique permettra, j’espère, de convaincre tous ceux qui naturellement ne sont pas portés vers la santé naturelle !  

 

- Une santé naturelle et sur-mesure ? 

- Oui, car l’objectif du Phytoscope™ qui est l’outil d’accompagnement disponible sur le site naturactive.fr, est vraiment d’amener des réponses individualisées. Chaque personne se présente avec ses propres besoins de santé, et ses propres habitudes alimentaires. Ce qui permet d’identifier ses déficits en phytonutriments de façon personnalisée. Il n’y a pas de surprise : nous avons tous des déficits ! Le premier effet du questionnaire est qu’il va nous faire prendre conscience de ce que l’on mange, de nos habitudes alimentaires. Sans jugement bien entendu, car l’idée n’est pas de dire, par exemple, « ce n’est pas bien de ne pas assez manger de fruits rouges », mais de comprendre que le fait de ne pas manger suffisamment de fruits rouges entraîne un déficit en tel ou tel phytonutriment. S’il n’y a pas de besoin de santé associé, cela fait tout de même prendre conscience d’un probable déséquilibre. Or, dans le corps humain, en permanente recherche d’homéostasie, tout déséquilibre est délétère et amène tôt ou tard à une problématique de santé.  

 

- Beaucoup de personnes vont se rendre compte qu’ils ne consomment pas suffisamment de végétaux… 

- Probablement. Une étude, qui a comparé les habitudes alimentaires entre 2007 et 2016, montre que 75% de la population française ne mange pas les 5 fruits et légumes recommandés. Cela va plus loin : même les 25% restants peuvent présenter des déficits, car cette recommandation ne permet pas d’apporter la totalité des phytonutriments. Le Phytoscope™ permet de prendre conscience de ces déficits, et du fait qu’ils sont associés, ou peuvent l’être, à des problématiques concrètes de santé et de bien-être. Le lien est direct, vraiment. La bonne nouvelle est que l’on peut facilement agir pour remonter ses apports en phytonutriments en modifiant son alimentation par des micro-ajustements, ou en prenant des plantes riches en ces phytonutriments pour une action de fond, qui vont permettre un retour rapide et sûr à des taux corrects… pour une santé préservée ! 

 

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